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Montmorot (39) : L’exception qui fait la règle
D'ordinaire, lorsqu'un cambrioleur est pris sur le vif, il ne tarde pas à mettre les voiles. Mais dans la nuit de vendredi à samedi dernier, près de Lons-le-Saunier, le scénario a hélas été bien différent pour une mère de famille de Montmorot.
Réveillée vers 1h30 par des bruits provenant de son salon, c'est elle qui aura dû prendre la fuite pour (tenter d') échapper à la réaction violente de son voleur. Un individu d'une vingtaine d'années qui, pour avoir été dérangé en plein larcin, l'aura en effet frappée sous les yeux de ses deux enfants puis poursuivie dans la rue… où elle aura de nouveau été passée à tabac avant l'arrivée des secours, dépêchés par des voisins.
Souffrant d'importantes blessures au visage, la trentenaire aura dû être hospitalisée à Lons-le-Saunier tandis que son agresseur, alcoolisé à hauteur de 2,80 g, se sera montré tout aussi virulent à l'égard des policiers, reçus à coups de tête.
Présenté lundi à la justice, l'homme a demandé un délai supplémentaire pour… subir une expertise psychiatrique. Ce que le tribunal lui a accordé bien volontiers, en reportant pour cela son procès au 2 décembre, avec maintien en détention jusqu'à cette date.
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Réveillée vers 1h30 par des bruits provenant de son salon, c'est elle qui aura dû prendre la fuite pour (tenter d') échapper à la réaction violente de son voleur. Un individu d'une vingtaine d'années qui, pour avoir été dérangé en plein larcin, l'aura en effet frappée sous les yeux de ses deux enfants puis poursuivie dans la rue… où elle aura de nouveau été passée à tabac avant l'arrivée des secours, dépêchés par des voisins.
Souffrant d'importantes blessures au visage, la trentenaire aura dû être hospitalisée à Lons-le-Saunier tandis que son agresseur, alcoolisé à hauteur de 2,80 g, se sera montré tout aussi virulent à l'égard des policiers, reçus à coups de tête.
Présenté lundi à la justice, l'homme a demandé un délai supplémentaire pour… subir une expertise psychiatrique. Ce que le tribunal lui a accordé bien volontiers, en reportant pour cela son procès au 2 décembre, avec maintien en détention jusqu'à cette date.
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Publié le mercredi 12 novembre 2014 à 09h21