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Vesoul : la ville qui n'aimait pas les chats
Les villes sont sans cesse confrontées à des difficultés inédites et Vesoul fait l'expérience d'une prolifération inquiétante de chats.
Les minets se multiplient et prennent leurs aises dans la ville préférée de Jacques Brel à une vitesse qui a de quoi surprendre...
Ainsi, d'après nos informations, ils seraient plusieurs centaines (voir un millier) à errer comme bon leur semble sur la commune qui compte environ 16 000 habitants (60 000 pour toute l'aire urbaine).
Les Vésuliens avaient donc trois options :
C'est bien la deuxième solution qui a été privilégiée, celle-ci étant beaucoup plus politiquement correcte.
Les chats sont donc capturés et emmenés chez un vétérinaire pour être stérilisés. Ils sont ensuite relâchés ou confiés à des familles d'accueil.
Cette année, cette opération (qui coûte 7000 euros par an à la municipalité) devrait prendre en charge au moins 300 animaux.
Les minets se multiplient et prennent leurs aises dans la ville préférée de Jacques Brel à une vitesse qui a de quoi surprendre...
Ainsi, d'après nos informations, ils seraient plusieurs centaines (voir un millier) à errer comme bon leur semble sur la commune qui compte environ 16 000 habitants (60 000 pour toute l'aire urbaine).
Les Vésuliens avaient donc trois options :
- Laisser proliférer les matous pour transformer la ville en curiosité touristique
- Se lancer dans une vaste campagne de stérilisation pour endiguer le développement de la colonie de félins
- Autoriser le meurtre et la torture de centaines de chats par les enfants des quartiers sensibles de Vesoul
C'est bien la deuxième solution qui a été privilégiée, celle-ci étant beaucoup plus politiquement correcte.
Les chats sont donc capturés et emmenés chez un vétérinaire pour être stérilisés. Ils sont ensuite relâchés ou confiés à des familles d'accueil.
Cette année, cette opération (qui coûte 7000 euros par an à la municipalité) devrait prendre en charge au moins 300 animaux.
Publié le vendredi 4 mars 2016 à 12h00